La qualité n’est plus une priorité ?

La pandémie COVID-19 a obligé le gouvernement à instaurer des stratégies et des politiques pour faire face a ses conséquences néfastes de point de vue économique, social et financier. Le discours des ministres à tous les niveaux ne comportent aucune mention de la qualité. Que dire aussi des journalistes et des mass médias qui chaerchent à faire des buzz sur la corruption, la contre bande…
La qualité y compris les normes touche tous les aspects de la vie quatidienne, les foyers, l’infrastrucure, les transports, les institutions d’éducation, les administrations…Quand rien ne fonctionne comme il faut, c’est bien souvent parce qu’il n’y a pas de normes.
En consultant la constitution tunisienne 2014, le terme « Qualité » figure seulement dans l’article 38 « L’état garantit la prévention et les soins de santé à tout citoyen et assure les moyens necessaires à la sécurité et à la qualité des services de santé. » ainsi que dans l’article 39 « L’état garantit le droit à l’enseignement public et gratuit à tous ses niveaux. Il veille à mettre les moyens necessaires au service d’une éducation, d’un enseignement et d’une formation de qualité. » C’est comme si la qualité ne touche que la santé et l’enseignement.
Depuis la cloture du programme de coopération pour l’amélioration de la compétitivité PCAM financé par l’Union Européenne, aucun programme n’a été établi par le gouvernement. Seulement, il ne faut pas oublier le rôle important que joue actuellement l’USAID JOBS et la BERD pour la prise en charge des actions qualité demandées par les entreprises.
Mesdames et messieurs, pensons qualité ?

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